Cosas sencillas pero significativas.
Encuentra aquí ideas relacionadas con la Primaria, Mujeres jóvenes, Sociedad de Socorro, el Templo, la Conferencia General, la familia y el hogar. ¡Tutoriales, imprimibles, imágenes y mucho más!
Cada semana me encanta leer el BLOG de la Iglesia y ver qué hay de nuevo, y en lo que respecta al día de reposo, siempre hay ideas interesantes. Ésta fue la idea que utilizamos la semana pasada en nuestra Noche de Hogar:
Mis hijos estaban fascinados: íbamos a empezar por el refrigerio. En la mesa teníamos helado, chispas de chocolate, palillos de galleta, fruta en conserva, confeti azucarado, jamón, queso, mostaza y salsa de tomate. El envase del Helado tenía una etiqueta que decía:
DÍA DE REPOSO
Todo lo demás también tenía etiquetas: las chispas de chocolate, los palillos de galleta, el confeti y la fruta en conserva decían:
LEER LAS ESCRITURAS
IR A LA IGLESIA
ESCRIBIR A LOS MISIONEROS
ESCRIBIR EL DIARIO PERSONAL
El jamón, el queso, la mostaza y la salsa de tomate también tenía etiquetas de cosas que nos gusta hacer, tal como
BAILAR
IR A LA PISCINA
ESTUDIAR
IR A UNA FIESTA
Servimos para cada uno una taza de helado y comenzamos a preguntarles qué les gustaría agregarle para hacer de él una delicia. Comenzamos con las chispas de chocolate y todos estuvieron de acuerdo. Luego les ofrecimos el jamón y ninguno aceptó. Les preguntamos por qué, si es algo que les gusta tanto. Nos dijeron que por supuesto que les gusta, pero no en el helado; estuvieron de acuerdo que es perfecto en el desayuno, en un sandwich o incluso en la cena de navidad, pero no es apropiado para el helado. Continuamos haciendo preguntas respecto a todo lo que teníamos en la mesa. Cuando todos estuvieron listos, comenzamos a comer y a comparar el helado con el día de reposo. Fue realmente sencillo y no tuvimos que esforzarnos mucho para que todos nuestros hijos participaran y compartieran su opiniones. Fue una de nuestras mejores Noches de Hogar, tanto nuestros hijos como nosotros la disfrutamos muchísimo y juntos aprendimos cómo y por qué debemos hacer del día de reposo una DELICIA.
Así que en este post voy a compartir unas ideas geniales para ese desayuno especial, solamente hagan click en los enlaces debajo de las imágenes para descargar los modelos:
La Fête de
Pères s’approche à grands pas et c’est le temps pour nous préparer. Voici
quelques idées simples, économiques, originales et significatives. Clique sur le lien qui se trouve au-dessous
des images pour télécharger les modèles.
J’aime l’idée
de lire chaque jour quelque chose bonne sur moi, disons-le à papa ! Peut-être
nous ne réussirons pas à écrire 365 raisons, mais nous pouvons trouver
suffisamment de raisons pour lui dire que nous l’aimons. Nous pourrions
utiliser un couleur différent pour chaque enfant, de cette façon il pourrait
savoir l’origine de tant d’amour.
Génial !
Les outils de la boîte sont des coupons que papa peut échanger quand il le
désirera : un massage des pies, le déjeuner au lit, la télécommande….
Soyons créatives, le ciel est la limite !
Nous
pouvons le faire de deux grandeurs : le plus grand pour les mains et le
plus petit pour les marques de doigts. Nous pouvons le faire en avant (comme un
cadeau) ou pendant la journée si tu veux que les marques de toute la famille
soient dans l’arbre. Allez sur le lien en haut pour télécharger l’arbre.
Mon époux
est un fan de l’informatique, et l’année passée, un de mes enfant a fait cette carte
pour lui et a été un grand succès. Je ne dirais pas que c’est difficile, mais
il fait prendre le temps pour le faire, cependant, le résultat vaut la peine !
¡Ya falta poco! Tan solo unos días para festejar al Rey de la casa. Hoy quisiera compartir con ustedes algunas ideas sencillas, económicas, originales y significativas. Haz click en los enlaces debajo de las imágenes para descargar las plantillas y modelos necesarios.
Me encanta la idea de leer cada día algo bueno de mi, ¿por qué no decírselo a papá? Afortunadamente 5 cabezas piensan más que una, así es que aun cuando no lleguemos a 365 ideas, podemos encontrar suficientes razones para decirle por qué le amamos tanto. Podría utilizar un color diferente para cada niño y otro para mi, así sabría quién es el autor de tanto amor.
¡Genial! Las herramientas de la caja son en realidad cupones que papá puede canjear cuando lo desee: un masaje en los pies, derecho al control remoto, desayuno en la cama... puedes colocar lo que desees, ¡el cielo es el límite! Tan solo haz click en la fuente para descargar las plantillas.
Puedes hacerlo de dos tamaños: El árbol de manos más grande y el de las puntas de los dedos más pequeño. Es una actividad que puedes hacer antes (como regalo) o durante el Día del Padre si deseas que las huellas de toda la familia estén en el árbol. Ve a la fuente para descargar la base del árbol.
Mi esposo es fanático de la informática y el año pasado uno de nuestros hijos le hizo esta tarjeta que fue todo un éxito. No la calificaría de difícil, pero hay que invertirle tiempo, sin embargo, ¡el resultado vale la pena!
Depuis plus tie vingt ans, soeur Cecile Pelous, membre de la paroisse de Cergy-Pontoise, dans le pieu de Paris, travaille pour les plus grands noms de la haute couture parisienne (Dior, Ricci, etc.). Modeliste, elle cree et realise ties robes pour les femmes les plus riches du monde.
Depuis 1986, cette soeur souriante et dynamique se sert de sa carriere dans ce dom aine prestigieux pour accom plir une oeuvre tout a fait differente. Elle passe tro is mois par an a servir les defavorises en Inde.Travaillant dans les banlieues pauvres de Calcutta et dans les orphelinats du Bengale, elle consacre toutes ses economies, ainsi que ties dons de ses amis frangais, a secourir les enfants pauvres, aidee sur place par ties gens de bonne volonte.
«JE SAVAIS QU’IL Y AVAIT BEAUCOUP A FAIRE»
Cécile a decouvert 1’Eglise de Jesus-C hrist ties Saints des Derniers Jours en 1974, lors d ’un voyage organisé aux Etats-Unis. Le groupe dont elle faisait partie s’est arreté a Temple Square et a assisté a une representation du Choeur du Tabernacle . Cela a eté pour elle une experience emotionnelle si intense qu’elle a raconte plus tard aux autres voyageurs que ce concert an Tabernacle etait la partie du voyage qu’elle avait prefereé.
Plusieurs mois plus tard, en France, ties missionnaires ont frappé a sa porte. Cécile n’etait pas interesseé, mais I’un d’eux lui a dit qu’il venait de Salt Lake City. Se souvenant tie son experience, Cécile a demandé an missionnaire s’il repres enta it «l’Eglise du choeur du Tabernacle». Quand il a dit oui, elle les a laisseé entrer et a ecouté leur message. Elle s’est fait baptiser quelques mois plus tard, en 1975.
C’est onze ans plus tard, en juillet 1986, que Cécile s’est rendue pour la première fois en Inde. Elle raconte: «La première année, je suis partie a Calcutta pendant mes vacances, avec 1’idée d’aider mon prochain. Mon brevet de secouriste sous le bras, armée de bonne volonte et des medicaments pleins mes bagages.» Elle avait lu des livres et assisté a une conference decrivant la situation en Inde. Elle ajoute: «Je savais q u ’il y avait beaucoup a faire.»
A Calcutta, elle travaille surtout aupres des vieillards, des bébeés et des enfants handicapes. «La j’ai trouvé de quoi m’occuper et me depasser. Le linge souille a faire bouillir et a laver; les repas a reparer et a dormer; dans les asiles, les malades a faire manger et les premiers soins a donner; il faut laver les mourants et les aider a quitter ce monde en les entourant de tendresse et de chaleur humaine; changer les bébés, les nourrir; ils sent si faibles qu’on voudrait leur insuffler sa propre santé .» Elle travaille d’abord avec les Soeurs de la Charité de mére Teresa, puis avec d’autres groupes.
«C’EST LE SEIGNEUR QUI VOUS ENVOIE!»
Au coins de ce premier voyage, elle decouvre un foyer pour une centaine de personnes agées, la plupart grabataires . Elle raconte : «I1 n'y avait que deux missionnaires catholiques pour s’occuper de ce petit monde, et l'une d’elles etait malade depuis trois jours. Je suis arrivée avec une autre benevole. Nous avons retroussé nos manches et nous nous sommes mises au travail. Soeur Theresina, 1’une des missionnaires, qui était seule pour parer a tout, m’a embrassée e t m’a dit: <C’est le Seigneur qui vous envoie>, et je 1’ai crue.»
Ensuite, a Pilkana, un bidonville de la banlieue de Calcutta , Cécile est confronte eaux temperatures caniculaires, aux inondations qui durent pendant toute la saison de la mousson et a des conditions de misere qui la confondent. Elle precise cependant: «J’ai aussi trouve beaucoup d’espoir, car les enfants savent encore rire et s’amuser de rien, comme tous les enfants du monde.»
Elle fait aussi la connaissance d’un couple d’Europeens, qui a choisi d’y vivre depuis vingt ans, pour aider les Indiens les plus demunis a tre autonomes. «Ils avaient lancé une entraide exclusivement indienne; j’ai eu la chance d’être integrée a cette initiative; j’ai decouvert un centre de formation ou 1’on apprend a des jeunes filles de 14 a 17 ans a faire des <batiks>, pour qu’elles puissent un jour subvenir aux besoins de leur famille.»
Avec son experience de la mode, Cecile apprend aux jeunes filles a creer des patrons, a couper et a coudre leurs vetements. A present, elles habillent les enfants des orphelinats.
Cécile voit aussi la creation d ’une soupe populaire, des visites medicales gratuites comme dans un dispensaire. «La», dit-elle, «ceux qui o n t peu donnent a ceux qui n’ont rien.»
AIDE AUX ENFANTS SANS FAMILLE AU NEPAL
En 1989, C écile est contacté par un ami, le père Lrangois Laborde, pour aider un certain Parijat Gosh, instituteur a Nepalganj, au Nepal. II souhaite établir un foyer et une école, pour quarante-sept enfants sans famille (parmi lesquels vingt et un enfants aveugles), qu’il fait vivre avec son salaire d’instituteur. II envisage aussi la construction d’un dispensaire et d’une petite ferme (rendue possible grace a des dons de terre de fermiers voisins), qui permettrait de les nourrir.
Du Bengale, Cécile se rend sur place et évalue les besoins. De retour a Paris, elle entreprend des demarches pour réunir les fonds necessaires, mais sans succes. Heureusement, un evenement que Cécile attribue a la bienveillance de son Père céleste, sauve 1’entreprise. Une agence immobiliere lui fait une interessante offre d’achat de sa maison bien située dans la banlieue immediate de Paris. Elle accepte. Elle rachètera une maison, moins chère . . . mais aussi moins riche de souvenirs. Avec la difference de prix, elle peut financer les projets du Nepal. En 1990, le foyer et 1’école sont construits à Nepalganj.
NOURRIR AUSSI L’ESPRIT
Toutefois, 1’action de soeur Pelous ne vise pas que le bien-être materiel des gens. Elle explique: «Quand les gens ont de quoi manger et se vetir, ils peuvent manifester de I’intérêt pour l’Évangile.» Elle apprend le bengali. Elle donne des exemplaires de selections du Livre de Mormon en bengali aux gens qui lui posent des questions sur I’Église.
Cependant, son enseignement le plus puissant, c'est 1’exemple. Christian Euvrard, membre du pieu de Paris, ancien representant regional, explique: «Elle suit les principes du programme d’entraide de l'Église. Elle accomplit beaucoup en se conformant a la loi indienne et par 1’intermediaire d’organismes indiens. L’Église jouit ainsi d’une bonne reputation sans cesse croissante.»
Cécile se rappelle avec emotion 1’occasion ou des amis bengalis non membres ont plaide sa cause auprés des autorités locales en disant: «Elle ne ferait jamais rien de malhonnête, elle est mormone.»
Cécile temoigne: «Le Seigneur m’ouvre souvent des portes. Un jour les douaniers de Calcutta m’ont laisse importer deux fois plus de medicaments que les autres bénévoles qui travaillent depuis vingt ans en Inde ont jamais rèussi à y faire entrer! Une fois, j’ai obtenu a la dernière minute une place dans un avion deja complet pour le Nepal, où je devais rencontrer Parijat Gosh, avant de rentrer en France. Souvent, je decroche une autorisation de fonctionnaires pourtant habituellement peu empressés. Quand le Seigneur le veut, il suffit que je fasse ma part pour qu’il fasse la sienne.»
Chaque fois qu’elle quitte Paris pour se rendre au Bengale, elle demande et reçoit une bénédiction de la prêtrise qui la guide tout au long de son sejour.
«SAUVEZ MA PETITE-FILLE»
Interrogée sur ce qui moive son action, Cécile repond qu’elle ne petit oublier le regard de cette grandmère, amenant sa petite-fille deshydratée et anémiée au dispensaire de Belari, qui suppliait: «Sauvez ma petite-fille.»
Elle garde aussi en memoire 1’image des groupes de jeunes enfants hindous de Pashram de Banipur faisant leur prière , seuls, sans adulte, dans le plus grand recueillement. Quelle richesse spirituelle chez ces enfants desherités!
Cécile nous dit: «Chacun de nous a une mission sur terre et des responsabilités envers son prochain, proche ou lointain. Nous ne pouvons pas tester indifferents. Nous sommes bénis parce que nous avons la connaissance, et cette merveilleuse relation personnelle avec notre Père céleste. Pour moi, c’est mon plus grand capital. Le plus sur moyen de le faire fructifier, c’est de le mettre au service des autres. C ’est une chaine d'amour sans fin.
« N ’a ttendons pas que l'Église nous donne des instructions pour faire le bien. Si nous nous oublions en aidant les autres, nous serons bénis au-delà de ce que nous pouvons imaginer.»