31 marzo 2016

La conférence générale s’approche à grands pas et nous sommes prêts de hisser la voile !

La conférence générale est toujours spéciale pour notre famille. Cette année, j’ai préparé un Trousse pour naviguer pour notre famille en utilisant le discours de M. Russell Ballard du Collège de douze apôtres « Restez à bord et tenez-vous fermement » de la conférence générale d’octobre 2014. Vous trouverez :

-          Un résumé du discours.

-          4 cartes avec des illustrations de  Susan Fitch  et des extraits du discours.



-          Une affiche avec des illustrations de LDS Media Library


-          Un cahier de notes ou dessins (3 versions disponibles)




Finalement, à la fin de la conférence, on se réunit pour partager nos impressions et nos notes et nous profitons d’un petit dessert. Cette fois nous aurons muffins de petits bateaux.





Je vous souhaite un bon fin de semaine de conférence !  

¡ Listos para izar las velas! : Kit de navegación para la Conferencia General

La semana de la conferencia siempre es emocionante para mí y es un fin de semana especial para toda la familia. Siempre esperan con curiosidad que novedad tengo preparada, así es que este año creé un Kit de Navegación para nuestra familia basándome en el discurso del Elder M. Russell Ballard “¡Permanezcan en el bote y sujétense! de la conferencia General de octubre de 2014.
El kit contiene:
-          Un resumen del discurso.


-          4 tarjetas con ilustraciones  de  Susan Fitch y extractos del discurso.


    

-          Un poster (imagen de LDS Media Library )


-          Un cuaderno de anotaciones o dibujos según sea el caso (3 posibilidades diferentes)






Finalmente, al terminar la conferencia nos reunimos para intercambiar impresiones, leer nuestras notas y compartir un pequeño refrigerio. Esta vez serán cupcakes de barcos. Las decoraciones pueden descargarse en los siguientes sitios.



¡Qué tengan un buen fin de semana de Conferencia!

23 marzo 2016

Veggie Wars

Quizás no le pase a todas las madres, pero en mi casa a la hora de comer vegetales comienza…


Aquello se convierte en una batalla de resistencia para ver quien se cansa primero. Finalmente encontré la manera de dejar de ser Darth Moeder y ser más Yoda. Es por eso que parte de mi conocimiento hoy compartir quisiera.

En nuestro caso los Green Smothies marcaron la diferencia.

Receta #1
1 taza de Jugo de Naranja
½ Cambur (Banana) (ayuda a disimular el sabor de la espinaca)
½ taza de Piña
2 tazas de espinaca.
Se licúa todo muy bien. La cantidad de jugo puede variar según el gusto del público.

Receta #2
2 rebanadas de piña
½ pepino
3 tallos de célery
½ taza de agua si se utiliza la licuadora. No es necesario si se utiliza un extractor de jugos.



Receta # 3
1 taza de Jugo de Naranja
½ taza de remolacha
½ taza de zanahoria.

Receta #4
2 manzanas verdes
2 tallos de célery
1 pepino
1 limón
½ taza de agua si se licúa.

Receta #5 (refrescantes)
En lugar de hacer simplemente una limonada, la licuamos con zanahoria y lo colamos. También podemos hacer un jugo de piña y zanahoria o de limón y pepino.

Además de los Smothies tenemos los snacks.

Kale (col rizada) crujiente.
1 manojo de col rizada
1 cucharada de aceite de oliva
1 cucharadita de sal
Se precalienta el horno a 350º F.
Se separan las hojas, se lavan y se secan muy bien. Se cortan en pedazos pequeños y se colocan en una bandeja cubierta con papel no adherente para horno.
Se rocían con el aceite de oliva y la sal. Se hornean durante 10 o 15 minutos o hasta que los bordes empiecen a dorarse pero que no se quemen.

Calabacín (Zucchini)
½ taza de queso parmesano.
1 taza de pan rallado o cualquier otro preparado para empanizar.
1 taza de harina de trigo.
2 huevos batidos
2 calabacines picados en rodajas finas.
Aceite para freir.
Se mezcla el queso parmesano con el pan rallado o el preparado para empanizar. Se pasan las rodajas de calabacín por la harina, el huevo y finalmente por el pan rallado. Se fríen hasta que doren (aproximadamente un minuto por cada lado). Se colocan en papel absorbente y se sirven inmediatamente.



Mini pizzas de calabacín  
1 cucharada de aceite de oliva
3 calabacines picados en rodajas medianas
½ taza de salsa de tomate para pizza
½ taza de queso mozzarella rayado
½ taza de mini pepperonni
Sal y pimienta.
Se precalienta el horno.
Se calienta el aceite en un sartén y se saltean las rodajas de calabacín por ambos lados hasta que doren. Se le agrega sal y pimienta al gusto.
Se colocan los calabacines en una bandeja para hornear y se les pone un poco de salsa, queso y pepperoni.
Se hornean tan solo para que el queso se derrita y se sirven inmediatamente.

Finalmente es un asunto de imaginación, internet, intercambio de ideas, paciencia y resistencia (por algo vamos por el Episodio XCMXCVIII).

¡ Buen provecho !



16 marzo 2016

Comme un service d’argenterie

Cette semaine je voudrais partager un message du Elder F. Burton Howard :

« Je pense que le mariage éternel ne peut pas s’obtenir sans engagement de le réussir. Ce que je sais à ce sujet, je l’ai appris, pour la plupart, de ma femme. Il y a maintenant presque 47 ans que nous sommes mariés. Dès le début, elle a su ce qu’elle voulait.
Quand nous avons démarré, nous étions de pauvres étudiants, mais je pourrais illustrer sa vision de notre mariage au moyen d’un service d’argenterie. Comme c’est la coutume, lorsque nous nous sommes mariés, ma femme a déposé une liste de mariage dans un grand magasin local. Au lieu d’indiquer tous les pots, casseroles et appareils ménagers dont nous avions besoin et que nous espérions recevoir, elle a choisi un autre procédé. Elle a demandé de l’argenterie. Elle a choisi un modèle et le nombre de pièces, elle a indiqué les couteaux, les fourchettes et les cuillères sur la liste de mariage, et rien d’autre. Pas de serviettes, pas de grille-pain, pas de télévision, simplement des couteaux, des fourchettes et des cuillères.
Le jour du mariage est arrivé et est passé. Nos amis et ceux de nos parents ont apporté des cadeaux. Nous sommes partis pour une brève lune de miel et avons décidé d’ouvrir les présents à notre retour. Lorsque nous l’avons fait, nous avons eu un choc. Il n’y avait pas un seul couteau ni une seule fourchette dans le tas. Nous avons plaisanté à ce sujet et avons poursuivi notre vie.
Deux enfants sont nés pendant que nous faisions nos études de droit. Nous en étions à un sou près. Mais lorsque ma femme travaillait à temps partiel dans un jury ou que quelqu’un lui donnait quelques dollars pour son anniversaire, elle les mettait discrètement de côté, et, lorsqu’il y avait assez, elle allait en ville acheter une fourchette ou une cuillère. Il nous a fallu plusieurs années pour accumuler suffisamment de couverts pour pouvoir les utiliser. Lorsque, finalement, nous avons eu un service pour quatre personnes, nous avons commencé à inviter des amis à dîner.
Avant leur arrivée, nous avions une petite discussion à la cuisine. De quels ustensiles allions-nous nous servir : ceux en inox, cabossés et dépareillés ou l’argenterie spéciale ? À cette époque-là, je votais souvent pour l’inox. C’était plus facile. On pouvait simplement les jeter dans le lave-vaisselle après le repas, et ça suffisait. En revanche, l’argenterie donnait beaucoup de travail. Ma femme la dissimulait sous le lit, à un endroit où les cambrioleurs ne la trouveraient pas facilement. Elle avait insisté pour que j’achète un tissu anti-ternissure pour l’emballer. Chaque pièce était dans une housse séparée et il n’était pas facile de rassembler tous les couverts. Lorsque nous utilisions l’argenterie, il fallait la laver à la main, la sécher pour qu’elle ne se tache pas, et la remettre dans les housses pour qu’elle ne ternisse pas, l’emballer et la cacher soigneusement pour qu’on ne nous la vole pas. Si on découvrait la moindre ternissure, je filais acheter un produit pour l’argenterie et, ensemble, nous frottions soigneusement pour enlever les taches.
Avec les années, le service s’est complété, et j’ai observé avec étonnement le soin que ma femme y apportait. Elle n’a jamais été de nature à se fâcher facilement. Je me souviens pourtant du jour où l’un de nos enfants a réussi à mettre la main sur une des fourchettes en argent et a voulu s’en servir pour retourner le jardin. Cette tentative a suscité un regard enflammé et un avertissement : il n’en était pas question. Jamais!
J’ai remarqué que l’argenterie n’est jamais partie aux nombreux repas de paroisse que ma femme a préparés, n’a jamais accompagné les multiples repas qu’elle a faits et envoyés aux malades ou aux nécessiteux. Elle ne nous a jamais accompagnés en pique-nique ou en camping. En fait, elle n’est jamais allée nulle part ; et, avec les années, elle n’est même pas venue très souvent sur la table. Certains de nos amis ont été soupesés et n’ont pas fait le poids, sans même le savoir. Ils ont eu droit à l’inox quand ils sont venus dîner.
Puis est venu le moment où nous avons été appelés à partir en mission. Je suis rentré à la maison un jour et ai appris qu’il fallait louer un coffre-fort pour l’argenterie. Elle ne voulait pas l’emporter avec nous. Elle ne voulait pas l’abandonner ni la perdre.
Pendant des années, j’ai pensé qu’elle était simplement un peu excentrique, puis un jour, je me suis rendu compte qu’elle savait depuis très longtemps quelque chose que je commençais seulement à comprendre. Si l’on veut que quelque chose dure à jamais, il faut le traiter autrement. On le protège. On ne le maltraite jamais. On ne l’expose pas aux éléments. On n’en fait pas quelque chose de commun ou d’ordinaire. Si jamais il se ternit, on le polit avec amour jusqu’à ce qu’il brille comme s’il était neuf. Il devient spécial parce qu’on l’a rendu tel, et il devient plus beau et prend davantage de valeur avec le temps.

Le mariage éternel est exactement comme ça. C’est exactement ainsi que nous devons le traiter. » (F. Burton Howard; Le mariage éternel, Conférence Général Avril 2003)




Como un juego de cubiertos de plata

Esta semana me gustaría compartir un discurso del Élder F. Burton Howard:

"No se puede lograr un matrimonio celestial sin el compromiso de hacerlo funcionar. La mayor parte de lo que sé al respecto lo he aprendido de mi compañera: hemos estado casados durante 47 años y desde el principio, ella sabía la clase de matrimonio que quería.
Comenzamos como estudiantes universitarios pobres, pero la visión que tenía para nuestro matrimonio la simbolizaba un juego de cubiertos de plata. Tal como se hace hoy en día, cuando nos casamos fuimos a una tienda y seleccionamos los regalos que queríamos recibir. En vez de escoger la vajilla y los aparatos electrodomésticos que necesitábamos y esperábamos recibir, ella pidió un juego de cubiertos de plata. Escogió el estilo y el número de piezas que quería, y anotó cuchillos, tenedores y cucharas en el registro de la tienda y nada más. No pidió toallas, ni tostadora, ni televisor, sólo cuchillos, tenedores y cucharas.
La boda se llevó a cabo; nuestros amigos y los amigos de nuestros padres nos hicieron obsequios. Nos fuimos a nuestra corta luna de miel y decidimos que abriríamos los presentes al regresar. Al hacerlo, nos quedamos sorprendidos; entre todos los regalos no había ningún cuchillo ni un tenedor. Hicimos bromas de la situación y continuamos con nuestra vida.
Nos nacieron dos hijos mientras estábamos en la universidad; no teníamos dinero extra, pero cuando mi esposa trabajó a tiempo parcial como jueza de elecciones, o cuando alguna persona le obsequiaba algo de dinero por su cumpleaños, ella, sin comentarlo, lo guardaba y cuando tenía lo suficiente, iba a la tienda para comprar un tenedor o una cuchara. Nos tomó varios años acumular suficientes piezas y usarlas. Cuando por fin tuvimos un juego para cuatro personas, empezamos a invitar a algunos amigos a cenar.
Antes de que llegaran, solíamos tener una corta conversación en la cocina y hablábamos de qué cubiertos íbamos a usar, los gastados que no hacían juego, o los especiales de plata. En aquellos días por lo general yo votaba por los inoxidables; era más fácil ya que sólo se ponían en la lavadora de vajilla después de comer y se solucionaba el asunto. Por otro lado, los cubiertos de plata daban mucho trabajo. Mi esposa los tenía escondidos debajo de la cama para que un ladrón no los encontrase con facilidad. Ella había insistido en que yo comprara un paño especial para envolverlos para que no se pusieran negros. Cada pieza iba en su bolsa y no era muy fácil tenerlas listas. Cuando se usaban los cubiertos de plata, teníamos que lavarlos a mano, pieza por pieza, secarlos para que no quedara ni una mancha, envolverlos y con cuidado esconderlos otra vez para que no los fuesen a robar. Si descubríamos una mancha, mi esposa me mandaba a la tienda para comprar un producto especial para limpiar plata, y juntos, con esmero, los lustrábamos para quitarles las manchas.
Al pasar los años, compramos otras piezas y veía con asombro cómo las cuidaba mi esposa. Ella no era una persona que se enojara con facilidad; sin embargo, recuerdo el día en que uno de nuestros hijos de alguna manera consiguió uno de los tenedores de plata para ir a cavar en el jardín de atrás. Ese intento se encontró con una encendida mirada y con la advertencia de ni siquiera pensarlo, ¡nunca!
Me di cuenta de que el juego de plata nunca se utilizaba para las cenas que ella cocinaba en el barrio, nunca fue parte de las cenas que ella preparaba y enviaba para los enfermos o necesitados; nunca fue parte de los paseos de fin de semana ni tampoco de los días de campamento. De hecho, nunca se utilizaba en ningún lado y, al pasar el tiempo, ni siquiera lo usábamos en nuestra mesa muy a menudo. Solíamos juzgar, sin que ellos se dieran cuenta, si algunos amigos eran dignos de usar nuestros cubiertos de plata; al llegar a cenar, encontraban puestos los cubiertos de acero inoxidable.
Llegó el momento en fuimos llamados a la misión. Un día llegué y mi esposa me dijo que tenía que alquilar una caja de seguridad para el juego de plata; ella no quería que lo lleváramos ni que lo dejáramos, y no quería perderlo.
Durante años pensé que tan sólo era un tanto excéntrica, hasta que un día me di cuenta de que por mucho tiempo ella había sabido algo que yo apenas empezaba a entender: Si queremos que algo dure para siempre, debemos tratarlo de forma diferente. Lo cubrimos, lo protegemos, nunca lo maltratamos ni lo dejamos a la intemperie; no lo convertimos en algo común y corriente. Si alguna vez se le quita el brillo, lo pulimos con amor hasta que brille como nuevo; llega a ser algo especial porque en eso lo hemos convertido y se torna más valioso con el transcurso del tiempo.
El matrimonio eterno es así. Debemos tratarlo de esa manera. " (F. Burton Howard; El matrimonio eterno, Conferencia General Abril 2003)

Y vivieron felices para siempre ... al estilo Shrek.

¡¡ESTAMOS DE ANIVERSARIO!! La semana pasada mi esposo y yo celebramos 17 años de matrimonio. Nuestras hijas nos dieron un regalo de aniversario adorable: una representación del día de nuestra boda (¡ y con helado!):



Pasaron por mi mente distintos momentos, desde ese día hasta la última factura que pagué la semana pasada, pasando por el nacimiento de nuestro primer hijo, la primera mudanza, las vacaciones, la primera navidad o la primera urgencia en el hospital…. Así que en medio de mis emociones le pregunté a mi esposo:

- ¿Y ha sido como te lo esperabas?

Sonrió, me miró y escuchamos juntos. En el fondo se escuchaban nuestros hijos: unos riendo y otros peleando “¡Porque me miró y no me gusta!”. Por supuesto 3 segundos después oímos el infalible:” ¡MAMÁÁÁÁÁ´!! para que fuese a resolver el conflicto. Recordé entonces que tenía que preparar la cena, firmar unas autorizaciones, poner la ropa en la secadora y apurarme porque teníamos que hacer el mercado y llevar a nuestros adolescentes a la Mutual. No, la verdad creo que no era como lo esperábamos. Cuando nos embarcamos en esta aventura llamada matrimonio sentíamos que teníamos el mundo en las manos. No teníamos mucho, pero estábamos enamorados, teníamos energía y yo estaba convencida que iba a ser la mejor esposa y la mejor madre del mundo. No tardamos mucho en entender que las cosas no siempre resultan como las planificamos, la vida real es simplemente REAL: Esa cena PERFECTA se quema, las vacaciones PERFECTAS terminan con una visita al médico porque no sabías que había hiedra venenosa donde estaban jugando, la Noche de Hogar PERFECTA que tardaste toda la tarde preparando termina en aviones de papel, los días antes de la navidad PERFECTA hay tormenta y se dañan las líneas eléctricas (y no has terminado los regalos que decidiste hacer tu misma para crear recuerdos y tradiciones), la salida romántica PERFECTA con tu esposo se cancela porque descubres que tu hija es asmática y vuelves al hospital…..Entonces te preguntas, ¿las familias perfectas existen? Sí, si existen, yo tengo una:

UNA FAMILIA PERFECTAMENTE NORMAL

Yo creo que la perfección se encuentra en enfrentar y superar los desafíos que se presentan día a día, en saborear esos momentos pequeños y grandes que traen gozo: una sonrisa pícara, un collar de pasta, una florecita del jardín, una cena familiar, una conversación sincera, un autorretrato hecho por tu hijo (aun cuando lo haya hecho con un marcador permanente en la pared recién pintada), el picnic en el suelo del salón porque está nevando afuera o el regalo de aniversario de tus hijas. Sí, ese famoso “Y vivieron felices para siempre” es al estilo Shrek: viene acompañado de pañales sucios, platos por lavar, juguetes que guardar, niños que atender, horas sin dormir, comidas que preparar, lágrimas que enjuagar, consejos que dar; pero cuando pones todo eso en una balanza te das cuenta que los momentos felices pesan más, que las pruebas de la vida te han ayudado a crecer y a madurar, que has aprendido lecciones invaluables y que la tristeza es necesaria para poder comprender la felicidad.

Vuelvo a mi pregunta inicial:

- ¿Y ha sido como te lo esperabas?

Suspiró y me dijo:

-Definitivamente no. Ha sido mucho mejor porque estoy contigo.

Porque a fin de cuentas el cuento de hadas no termina cuando nos casamos, tan solo empieza.

08 marzo 2016

¡Feliz Día Internacional de la Mujer!

Bueno, este post hay que leerlo con aplausos, aplausos a todas esas mujeres MARAVILLOSAS que han hecho y que día a día hacen cosas GRANDIOSAS, desde atar unos cordones de zapatos hasta dirigir grandes compañías. Feliz día a todas esas mujeres

TRABAJADORAS
DEDICADAS
PACIENTES
ALEGRES
LUCHADORAS
ENTREGADAS
SOÑADORAS
CREADORAS
DISPUESTAS
COSNTANTES
INCANSABLES
EMPRENDEDORAS
AMOROSAS
QUE NUNCA SE RINDEN….


Podría pasar toda la tarde escribiendo y creo que no acabaría. ¡Somos INCREIBLES!, somos mujeres, HIJAS DE DIOS, nacidas en una época maravillosa que nos da oportunidades únicas para desarrollar al máximo nuestro potencial. Esa es razón suficiente para levantarse felices y agradecidas cada mañana.



¡Felicidades!

Comparto con ustedes unos pocos videos de algunas de esas mujeres maravillosas.










04 marzo 2016

La Familia: Una proclamación para el mundo.

Cuando mi esposo y yo nos casamos no teníamos muchas cosas en el apartamento (podía limpiar todo en menos de una hora), pero una de las primeras cosas que pusimos en la pared fue una copia de “La familia: Una proclamación para el mundo”. Aún está colgada en la pared de la sala y nos gusta leerla frecuentemente con nuestros hijos. Creo que uno de los párrafos que repito con más frecuencia es éste:

“Los matrimonios y las familias que logran tener éxito se establecen y se mantienen sobre los principios de la fe, de la oración, del arrepentimiento, del perdón, del respeto, del amor, de la compasión, del trabajo y de las actividades recreativas edificantes.”


Para bien o para mal, ningún hijo viene con un manual de instrucciones, y lamentablemente, lo que funciona con uno no necesariamente funciona con otro. Sin embargo, ésta nos parece una guía sencilla y segura en nuestros esfuerzos como padres. No digo que sea una tarea fácil, pero definitivamente vale la pena.

En esta oportunidad comparto con ustedes un calendario sobre la Proclamación de la Familia. ¡Espero que lo disfruten!



VERSIÓN EN ESPAÑOL



VERSION FRANÇAISE

01 marzo 2016

Cómo acabar con los piojos y no morir en el intento

Como ya dije en un post anterior, en esta aventura llamada Maternidad hay días buenos y días no tan buenos. Hoy voy a hablar de uno de esos no tan buenos. Hay ciertas palabras que ninguna madre desea escuchar en su casa, que causa espanto, angustia y que hace que nuestros ojos se abran al máximo de su capacidad: PIOJOS.

Es algo automático: tan solo escuchar la palabra causa comezón. Es como si una película de terror pasara ante nuestros ojos (especialmente si tenemos niñas con el cabello largo): sábanas, ropa, peluches… en mi caso SEIS cabezas para revisar, porque tan solo al escuchar la palabra hasta los hombres empiezan a rascarse la cabeza.

La pregunta es, ¿cómo acabar con ellos de manera efectiva y que no sea tóxico para los niños? Después de cierto ensayo y error, he aquí la fórmula que ha funcionado en casa:

1.       Lavado con shampoo anti piojos: En el mercado puedes encontrar distintos tipos de shampoo contra los piojos, y últimamente, hay algunas opciones no tóxicas. Sin embargo, si prefieres algo natural sin riesgos ni sustancias tóxicas hay dos opciones. Puedes preparar tu propio shampoo agregándole unas 10 gotas de aceite esencial de árbol de té a un shampoo suave de uso regular y lavar el cabello como de costumbre. Este shampoo me parece muy apropiado para los niños pequeños y además te servirá para usarlo regularmente por lo menos una vez por semana como modo preventivo después que todo el peligro haya pasado. Otra mezcla efectiva se prepara con aceite de oliva, shampoo regular y unas gotas de aceite esencial de lavanda, aceite esencial de eucalipto, aceite esencial de árbol de té, aceite esencial de menta y aceite esencial de limón. La proporción de aceite y shampoo va a depender de la cantidad de cabello a cubrir. Se agregan 5 gotas de cada aceite y se coloca sobre todo el cabello. Se cubre con un gorro plástico o con plástico de cocina y se deja actuar por 30 minutos. Luego se lava el cabello solo con agua, sale fácilmente gracias a la mezcla con shampoo.



2.       El peine apropiado: Después de lavar el cabello es necesario tener mucha paciencia y pasar un peine contra piojos y liendres. Yo utilizo el peine ASSY 2000, pues no todos los peines son capaces de extraer los piojos y las liendres. Si el peine no tiene los dientes correctos solo sacará los piojos más no las liendres.



3.       Aceite de Oliva: Al día siguiente, empapa todo el cabello con aceite de oliva, cubre la cabeza con un gorro de plástico y déjalo por un par de horas (mínimo) ya que el aceite asfixia a los piojos. También se puede usar mayonesa y logrará el mismo efecto. Se enjuaga el cabello con agua tibia y luego se vuelve a pasar el peine para piojos.



4.       Vinagre de manzana: Día tres: Este paso es esencial para despegar las liendres. Ya el aceite asfixió los piojos, pero solo el vinagre despegará las liendres que aún queden en el cabello. Se calienta un poco de agua (no demasiado) y se prepara una mezcla de vinagre y agua en partes iguales. Se coloca la cabeza del niño en la bañera de manera que podamos empaparla por completo. Como el agua está tibia el olor es fuerte al principio. Se cubre con un gorro de plástico y se deja un par de horas. Se enjuaga el cabello y otra vez volvemos a pasar el peine contra las liendres.



5.       Aceite de coco: Día cuatro: A estas alturas ya deberías haber acabado con los piojos, sin embargo, para prevenir cualquier eventualidad, coloca aceite de coco en el cabello, cúbrelo con un gorro plástico y déjalo actuar por un par de horas. Lava el cabello con el shampoo que ya preparaste y vuelve a pasar el peine para asegurarte que no quedó ningún sobreviviente.



Hay quienes prefieren hacer todos los pasos en un solo día y olvidarse del tema, la verdad yo no puedo, son demasiadas cabezas y muchos mechones. Es importante hacer una revisión las semanas siguientes y repetir el proceso una semana después si la infestación ha sido muy grave.

En relación con la ropa y las sábanas, aun cuando es importante lavarlas con agua caliente, lo más importante es secarlas a altas temperaturas. Los peluches u otros objetos en los cuales pudiera haber piojos solo necesitan meterse en una bolsa cerrada por unas 48 horas (pero como yo soy maniática los dejo el doble. Mujer prevenida…)

Finalmente, no dejes de utilizar el shampoo que preparaste con aceite de árbol de té en el lavado regular del cabello, eso evitará que vuelvan a contagiarse. También puedes poner una gota de aceite esencial de árbol de té o de lavanda detrás de las orejas y en la nuca, o preparar un spray con agua y algunas gotas de aceite y rociar el cabello.

Bueno, el lado positivo de toda esta Odisea es que el cabello queda brillante, hidratado y suave. Quizás les pase como a mí y alguien se les acerque para preguntarles:
- ¡Tus hijas tienen un cabello bellísimo!, ¿cuál es tu secreto?
Y entonces respondan con una sonrisa:

- ¡Productos naturales!