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23 marzo 2017

On cherche à la Nounou McPhee



D’accord, qui n’a pas désiré, pour une seule fois, appeler à la Nounou McPhee ? Il y a certain jour que je sens que la patience, la sagesse et la créativité s’en vont et ce que j’aimerai le plus c’est appeler la Nounou McPhee pour qu’elle résout mes problèmes maternels. Je voudrai que quelqu’un puisse arriver et faire mes enfants changer pour de bon, pas de grands changements, mais les petits : maintenir la chambre en ordre, obéir sans se plaindre, ne pas se chicaner entre eux, … mais les choses ne marche pas de cette façon-là. La Nounou McPhee n’a pas encore cognée à ma porte pour résoudre les choses par magie.

La bonne nouvelle est qu’il y a quelqu’un meilleur que la Nounou McPhee prêt à nous aider 24 sur 24 en tout ce que nous aurons besoins : notre Père Céleste. Il répond toujours mes appels de secours et les répond de manières simple, merveilleuse et inattendu. Cette semaine, j’ai relu un discours que le président Gordon B. Hinckley a partagé dans une réunion générale de la Société de Secours.

« Il y a quelques années, dans le tabernacle de Salt Lake, Marion D. Hanks, menait un débat. À ce débat se trouvait une jeune femme, séduisante et talentueuse, divorcée, mère de sept enfants, ayant à l’époque entre sept et seize ans. Elle a dit qu’un soir elle était allée voir sa voisine d’en face pour lui donner quelque chose. Écoutez ses paroles que je cite.
« Quand j’ai fait demi-tour pour rentrer à la maison, j’ai vu de la lumière chez moi. J’entendais l’écho de ce que mes enfants disaient lorsque j’étais sortie quelques minutes plus tôt : ‘Maman, qu’est-ce qu’on mange ce soir ?’ ‘Tu peux m’emmener à la bibliothèque ?’ ‘Je dois aller chercher des grandes feuilles de papier ce soir.’ Fatiguée, j’ai regardé la maison et j’ai vu la lumière dans chaque pièce. J’ai pensé à tous les enfants dans la maison qui attendaient mon retour pour que je réponde à leurs besoins. Mes fardeaux me paraissaient trop lourds pour moi.
« Je me rappelle avoir regardé le ciel à travers mes larmes et avoir dit : ‘Cher Père, je ne peux pas ce soir. Je suis trop fatiguée. Je n’y arrive pas. Je ne peux pas rentrer à la maison et m’occuper seule de tous ces enfants. Ne pourrais-je pas aller à toi et rester avec toi rien qu’une nuit ? Je reviendrai demain matin.’
« Je n’ai pas réellement entendu de paroles, mais je les ai entendues dans mon esprit. La réponse a été : ‘Non, petite, tu ne peux pas venir à moi maintenant. Tu ne voudrais jamais retourner sur terre. Mais je peux aller à toi.’ » (Gordon B. Hinckley; Dans le bras de son amour; Conférence Générale octobre 2006)
Je me souviens très bien le moment lorsque j’ai entendu ce discours : j’avais trois enfants petits de six, quatre et un ans. J’avais eu une semaine difficile et mon mari était rester avec eux dans la chambre afin que je puisse voir la conférence sur l’ordinateur. Je me sentais fatigué, frustré et incapable de supporter les choses ; donc, à travers d’un prophète de Dieu, j’ai pu recevoir de la consolation et de la sécurité que notre Père Céleste va toujours pouvoir venir à moi lorsque j’aurai besoin de lui.

Les enfants ont grandi et augmenté (ils ne sont plus trois, mais quatre), les défis et les circonstances ont changés, mais mon Père Céleste reste constamment. Quelque fois j’ai senti son amour et sa consolation quand je pris ou lorsque je lis les écritures, mais plusieurs fois j’ai sentis son amour à travers d’autres personnes qui ont bénie ma vie par leurs amour et intérêts sincère : un coup de téléphone, une visite inattendue, des oreilles prêtes à entendre, une note, un message par Facebook, un câlin, une fleur, une prière ou des biscuits. Les anges que le Seigneur envoi à notre porte, en général, ne vont pas avoir des robes blanches, mais ils apporteront toujours l’amour d’un Père aimant qui veille sur nous et pour nos besoins.

Mes enfants ne changent pas après ces visites, mais moi si. Je trouve de nouveau la paix et la sécurité que les choses vont être bien et que le Seigneur m’aidera à trouver la façon de poursuivre en avant avec un bon courage, comme il nous dit : 
                 
« En vérité, en vérité, je vous le dis, vous êtes de petits enfants, et vous n’avez pas encore compris combien sont grandes les bénédictions que le Père a entre ses mains et qu’il a préparées pour vous ;

et vous ne pouvez pas supporter tout maintenant ; néanmoins, prenez courage, car je vous guiderai le long du chemin.» (Doctrine et Alliances 78 :17-18)

10 marzo 2017

Dans les relations familières, AMOUR en réalité s’épèle T-E-M-P-S

Dans les relations familières, AMOUR en réalité s’épèle T-E-M-P-S

(Dieter F. Uchtdorf)

Je ne me souviens pas quand j’ai entendu cet extrait, mais depuis je ne l’ai jamais oublié. La valeur la plus précieuse de cette époque, n’est définitivement pas l’argent, mais le temps : il n’y a jamais assez de temps pour dormir, lire, travailler, aller en vacances, s’amuser, bien manger, faire de l’exercice, nettoyer (la saleté ne finit jamais !), ranger la maison, faire quelque chose en famille (spécialement si tu as besoin de courir après eux pour le réussir). Des fois, on est tellement immergé dans les mille et une choses de chaque jour que nous pensons que le lendemain on pourra le faire ou, peut-être, la semaine prochaine. La vérité est que, ce qui concerne la famille, les moments les plus précieux peuvent arriver lorsque nous sommes très occupés ou très fatigués.

L’automne dernier il y a eu beaucoup des semaines complètement grises, il a plu presque tous les jours et le froid a commencé à s’installer peu à peu. C’était l’heure de changer les vêtements d’été pour celle d’hiver et ça prend toujours des journées entières. Je les classifie par tipes et par catégories, donc, les chambres semblent à des champs minés pendant le procès. Une après-midi, après cette folie, quand j’avais tout très bien calculé pour finir avant souper, ma fille la plus jeune m’a dit qu’elle avait une exposition d’art à l’école. J’ai vue à travers la fenêtre : il continuait à pleuvoir et on devait marcher un kilomètre et demi pour arriver à l’école. J’ai vue l’horloge : 4 :15 pm et l’exposition était jusqu’à 6 :00 pm. Les sœurs missionnaires venaient manger à 6 :30 pm et je n’avais pas encore commencé à préparer le souper. J’ai vu ma fille et soupiré en attendant qu’elle dise que ce n’était vraiment pas important ou qu’elle ne voulait pas se mouiller, mais à la place, j’ai reçu cette réponse : « Je ne vais pas te dire c’est lequel, et comme ça tu pourras deviner c’est lequel… » c’est-à-dire, que c’était UN SEUL DESSIN! J’ai osez demander : « C’est important pour toi qu’on aille ? ». Elle a incliné la tête et a dit que oui. J’ai seulement put dire : « Alors on y va ».

J’ai laissé tout comme qu’il était et j’ai couru à la cuisine pour laisser le repas prêt avant de partir. On a pris nos parapluies et on a commencé notre marche à l’école. Ma fille a parlé tout le long du chemin, elle m’a raconté ce qu’elle a fait ce jour-là, elle m’a parlait de ses amies, elle m’a fait quelques questions et a partageaient quelques réflexions. En fin on est arrivé à l’école, et très fière, elle m’a emmené au mur de sa classe pour que je devine quel était son œuvre d’art (heureusement elle n’est pas très bonne à résister le suspens, donc elle m’a donné suffisamment d’indices pour deviner).



On était là, les deux mouillées et suées regardant un animal multicolore sur le tableau des Monstres. Elle m’a emmené dans un salon où on a vu les œuvres des autres classes, on a salué ses amis et on est retourné à la maison.

Cette nuit-là, j’ai poursuivis mon travail à neuf heure du soir après qu’ils se soient coucher, je n’avais pas le choix, mon lit était un champ miné : si je voulais dormir, je devais ranger les vêtements. Pendant que tout le monde dormait, je pensais que j’aurais vraiment pu finir beaucoup plus tôt si je n’étais pas aller à l’école, mais la vérité est que dans quelques années, personne va se rappeler si les vêtements étayeraient ou n’étaient pas ranger dans les tiroirs de la garde-robe ou ce que nous avons soupé cette nuit- là, mais elle va toujours se rappeler d’être allée à l’école pour voir son œuvre d’art même s’il pleuvait.

La vie est remplie de souvenirs. Est-ce que je prends le temps pour construire de souvenirs précieux pour ma famille, du temps pour entendre, jouer, rire, danser, accompagner ou pour se mouiller sous la pluie ? Les souvenirs nous accompagnent n’importe où on aille. Ils nous réconforteront en temps de difficultés et nous feront joyeux quand on aura besoin d’eux. Ils nous fortifieront et nous uniront. Ils créent des liens qui s’étendent avec le temps et qui passent de génération en génération. Certainement, c’est vrai ce qu’un jour j’ai lu :


« Le souvenir est un jardin d’Éden du quel ne nous serons jamais expulsés »

08 septiembre 2016

La sagesse du paresseux



Curieusement, ce petit animal m’a arrangé la journée. Celle-ci était une de ces semaines où je ne trouve pas le bout parce qu’il y a plus d’un. Plusieurs choses à faire et peu de temps pour les faire. Je suis allée sur l’ordinateur pour envoyer un courriel et tout à coup, elle était là, comme fond d’écran, me voyant… Et elle souriait ! je l’ai vu et je me suis demandée : Pourquoi sourit-elle ? Ne se rend-elle pas conte que s’il y a un incendie ou une inondation dans la jungle, elle n’a pas beaucoup de chances ? ... en plus, elle est contente en serrant ce tronc… Curieuse pour savoir si c’était seulement une de ces photos que tu prends par hasard, je suis allée chercher d’autres photos sur ce petit animal en particulier et devinaient qu’elle sourit tout le temps. Et elle a même du style !



C’est alors que je me suis rendu compte pourquoi elle sourit : c’est simple, elle EST CONSCIENTE DE SES LIMITATIONS et elle les utilise à sa faveur. Elle a très claire qu’elle ne peut concourir avec la lièvre (ni même la tortue) donc, elle simplement en profite le paysage en attendant l’arrivée de son destin (j’imagine que c’est pour ça qu’elle est tellement contente lorsqu’elle arrive). Elle n’a rien à prouver a personne et elle arrive jamais tard, elle simplement arrive lorsqu’elle doit arriver. Sage mon ami le paresseux, zéro stress.

Je me suis mise a pensée à ma liste de choses à faire, bonnes tous elles, mais, de quelles importances ? Lorsque le Sauveur est aller visiter à Marte et Marie, les deux voulaient lui plaire et l’accueillir. Marte était préoccuper pour que la maison était propre et ordonnée, que la nourriture était réalisée à temps et la table prête à recevoir son invité d’honore. Marie désirée écouter ce que le Sauveur prêchait. Lorsque Marte s’est plainte avec le Sauveur pour le manque de coopération de Marie, le Sauveur l’a félicité pour ce qu’elle fessait, et dans une aimante réprimande il lui a fait remarquer qu’elle était inquiète et contrariée par beaucoup de chose ; il lui rappela que seulement une chose était nécessaire et que Marie avait choisi la bonne partie, laquelle ne lui serait enlever. Selon le dictionnaire, s’efforcer veut dire « se rendre au travail soigneusement lors de l’exécution de ce qui a était demandé, en faisant attention à s’arrêter sur les choses qui paraissent insignifiantes ». Le Sauveur n’a pas dit à Marte que s’efforcer était quelques choses de mauvais, il lui a dit qu’elle s’efforçait… pour beaucoup de choses. Dallin H. Oaks, de Collège de Douze Apôtres, a dit :

 « Nous devons commencer par reconnaître que le simple fait que quelque chose est bon n’est pas une raison suffisante pour le faire. Le nombre de bonnes choses à faire dépasse de loin le temps dont nous disposons pour les accomplir. Il y a des choses qui sont mieux que bonnes, et ce sont celles auxquelles nous devons accorder la priorité. Quand nous réfléchissons à des choix que nous avons à faire, nous devons nous rappeler qu’il ne suffit pas que quelque chose soit bon. D’autres choix sont mieux et d’autres sont encore mieux. » (Bon, mieux, encore mieux, Le Liahona Novembre 2007)

Maintenant, comment savoir qu’elles des choses sur ma liste sont les meilleures ou, encore mieux, excellente ? Sœur Julie B. Beck, a enseigné :

« Une femme bonne sait qu’elle n’a pas suffisamment de temps, d’énergie ou de possibilités pour s’occuper de tout le monde ou faire toutes les bonnes choses que son cœur aspire à faire. Pour la plupart des femmes, la vie n’est pas calme et il semble que chaque jour il faille accomplir un million de choses, dont la plupart sont importantes. Mais, avec la révélation personnelle, elle peut établir correctement ses priorités et avancer dans la vie avec confiance. On reçoit souvent la révélation heure par heure et d’un moment à l’autre quand on fait ce qui est juste. Quand les femmes élèvent comme le Christ l’a fait, un pouvoir et une paix peuvent leur être accordés pour les guider quand elles ont besoin d’aide. » (« Et sur les servantes, dans ces jours-là, je répandrai mon esprit », Le Liahona mai 2010)

En suivant ces conseils je me suis rendu compte que la liste de choses bonnes peut changer constamment, cependant, les petites choses essentielles, doivent être constantes, telle que la prière personnelle et l’étude régulier des écritures ; l’assistance aux réunions du dimanche, chaque semaine et aller au temple autant que mes possibilités me le permettront. Si ces choses ont de la priorité dans ma vie, les autres choses prendront leurs places. Le roi Benjamin l’a dit sagement :

« Et veillez à ce que tout cela se fasse avec sagesse et ordre ; car il n’est pas requis que l’homme coure plus vite qu’il n’a de force. Et en outre, il est nécessaire qu’il soit diligent, afin qu’il remporte ainsi le prix ; c’est pourquoi, tout doit se faire avec ordre. » (Mosiah 4 :27)

La clé est là :
1.       Prudence en déterminant ce que je dois ou veut faire.
2.       Ordre à l’heure d’établir les priorités.
3.       Connaître mes limitations (comme mon ami le paresseux)
4.       Diligence afin de réussir les objectifs planifiés.

Telle comme a dit le président Uchtdorf en citant les sages paroles de sa femme :



« La vie n’est pas une course, 
c’est un voyage. 
Savoure le moment. »

05 mayo 2016

Être maman

Il y a quelques années, j'ai lu cet article et je n'ai pu pas éviter de sourire:


Oui, c’est vrai, c’est un travail difficile, mais je ne changerais ma place pour rien au monde.

Pour toutes les mamans j’ai trois petits cadeaux :

1.     Une affiche pour nous souvenir les trésors que nous avons.




2.     Une grande affiche pour écrire toutes los choses que vous aimez d’être une maman. Vous pouvez choisir la grandeur que vous voulez. J'ai le fait pour 9 pages.





3.     Et finalement un ensemble d’articles et de discours pour nous encourager et fortifier quand on en a besoin.




Bonne Fête de mères !!